Un terrain dit « constructible » est un terrain qui peut être utilisé pour la construction de bâtiments et/ou infrastructures. Les différents types de terrains constructibles comprennent les terrains agricoles, les terrains non agricoles, les terrains boisés et les terrains à usage mixte.
Les terrains agricoles sont des terres cultivables ou à proximité de sources d’eau situées à l’extérieur des limites urbaines qui peuvent être utilisées pour la culture des cultures et/ou l’élevage des animaux. Ces terrains offrent une excellente qualité de sol et sont adaptés à la construction de bâtiments et d’infrastructures.
Les terrains non agricoles sont principalement composés de forêts, de marais, de collines, etc., qui ne sont pas propices à l’agriculture. Ces types de terrain peuvent également être utilisés pour construire des bâtiments et/ou des infrastructures, notamment en raison du fait qu’ils contiennent souvent des sols riches en minéraux et en nutriments.
Les terrains boisés sont composés principalement d’arbres et autres végétaux qui peuvent servir d’abri aux animaux sauvages ou comme source d’alimentation pour ces mêmes animaux. Ces types de terrain peuvent également être utilisés pour construire des bâtiments et/ou infrastructures car ils contiennent souvent des sols très riches en nutriments.
Enfin, les terrains à usage mixte regroupent tous les autres types de terrain pouvant être utilisés à la fois pour l’agriculture (cultures, élevage…) ainsi que pour la construction (bâtiments…). Ce type de terrain est très pratique car il permet aux propriétaires d’utiliser leurs terres à la fois pour l’agriculture et la construction sans avoir besoin de déplacer leurs installations ou leurs cultures.
Les différents types de terrains constructibles
Les terrains constructibles sont des surfaces de terre qui peuvent être utilisées pour la construction. Il existe différents types de terrains constructibles, chacun présentant des caractéristiques uniques et des avantages spécifiques.
Le terrain à bâtir est le type le plus couramment utilisé pour les projets de construction. Il se compose généralement d’une parcelle plane et dégagée sur laquelle il est possible de construire une maison ou un bâtiment commercial. Les terrains à bâtir sont généralement situés dans des secteurs résidentiels ou commerciaux et peuvent être facilement accessibles par les services publics tels que l’eau, l’assainissement et l’électricité.
Les terrains en pente sont des surfaces de terre qui sont plus difficiles à construire, car elles nécessitent une planification supplémentaire et un travail plus important afin de compenser les pentes naturelles du terrain. Cependant, ces propriétés peuvent offrir une vue imprenable sur le paysage alentour et donner à votre maison une touche unique et spectaculaire.
Les terrains boisés sont également très populaires, car ils offrent aux propriétaires la possibilité d’avoir un certain contact avec la nature tout en profitant de l’espace pour construire leur maison. Ces propriétés exigent généralement des travaux supplémentaires pour nettoyer le terrain avant la construction, mais cela peut aussi permettre aux propriétaires d’utiliser certains matériaux locaux pour créer des espaces extérieurs intimes et personnalisés.
Enfin, les terrains agricoles sont souvent considérés comme une bonne option pour ceux qui recherchent un emplacement calme et paisible loin du bruit urbain. Ces propriétés offrent souvent une grande variété d’options en termes d’espace disponible pour construire ainsi que les possibilités offertes par l’agriculture locale.
Comment savoir si un terrain est constructible ?
Il est fondamental de savoir si un terrain est constructible avant d’entreprendre tout projet de construction. Pour ce faire, il convient de vérifier auprès des autorités locales et fédérales si le terrain est autorisé à être construit sur. Les terrains constructibles peuvent être classés en trois catégories principales :
– Terrains agricoles : ces terrains sont généralement destinés à l’agriculture et ne sont pas considérés comme constructibles. Cependant, certaines régions peuvent autoriser la construction sur des terrains agricoles sous certaines conditions.
– Terrains urbains : ces terrains sont généralement situés dans les zones urbaines et ont déjà été développés pour une utilisation ou une activité spécifique. Les terrains urbains peuvent être utilisés pour la construction, mais ils doivent respecter les règlements locaux et fédéraux applicables.
– Terrains naturels : ces terrains n’ont pas encore été développés et ne sont pas considérés comme constructibles par défaut. Ils peuvent être transformés en zones constructibles, mais seuls les plans de développement approuvés par les autorités locales et fédérales seront autorisées.
Comment se calcule la constructibilité d’un terrain ?
La constructibilité d’un terrain est déterminée par plusieurs facteurs, tels que sa localisation géographique et son orientation, sa superficie, ses caractéristiques topographiques et environnementales ainsi que les règles de construction.
Pour calculer la constructibilité d’un terrain, il faut tout d’abord prendre en compte l’emplacement du site : selon le plan local d’urbanisme (PLU) ou le règlement national d’urbanisme (RNU), certaines zones sont réservées à des usages spécifiques et ne peuvent donc pas être construites. Il convient également de vérifier si le terrain est situé à proximité de certains sites protégés qui pourraient restreindre la possibilité de construire.
Ensuite, il faut évaluer la superficie du terrain et s’assurer qu’elle respecte les limites imposées par le PLU ou le RNU. Par exemple, certaines villes ont des restrictions sur la taille des habitations individuelles autorisées à être construites sur un même lot.
Il est également important de prendre en compte la topographie du terrain, car elle peut influer sur la capacité à construire un bâtiment ou une infrastructure particuliers. Les pentes raides rendent plus difficile l’accès aux matières premières et à l’excavation nécessaire pour les fondations. La présence de zones humides peut également entraîner des coûts supplémentaires liés au drainage et à la protection contre l’inondation.
Enfin, il faut tenir compte des règles relatives aux constructions existantes qui peuvent limitent ou empêcher certains types de construction sur le site. Ces restrictions incluent les limites de hauteur maximale autorisée pour un bâtiment ou encore les exigences minimales concernant l’espace extérieur disponible autour du bâtiment.
Différence entre terrain à bâtir et terrain constructible
Les terrains à bâtir et les terrains constructibles sont tous deux des classifications de terrains qui peuvent être utilisés pour la construction. Cependant, il existe des différences importantes entre eux.
Un terrain à bâtir est un terrain dont le zonage autorise la construction d’un bâtiment en conformité avec les lois et réglementations locales. Les règlements locaux détermineront ce qui peut être construit sur le terrain et quelles restrictions s’appliquent à l’utilisation du terrain.
Un terrain constructible est un terrain qui est prêt pour la construction immédiate, ce qui signifie qu’il n’y a pas besoin de procédures supplémentaires pour obtenir une autorisation ou une permission pour commencer à construire. Le sol est déjà prêt pour accueillir des fondations et des structures sans avoir à effectuer d’importants travaux de préparation du site.